La haine
Il n’y a rien de plus affreux que toi,
Car tu t’immisces sous tous les toits,
Sans raison, pour un rien parfois,
Tu opposes ceux qui s’aimaient autrefois.
Qu’ils soient frères ou étrangers, çà et là,
Tu sèmes ta graine qui germera dans le froid,
Petit à petit, elle poussera et grandira,
Arrosée par un désir de vengeance sans foi ni loi.
Bien des querelles et des guerres, tu engendreras,
Des blessures profondes, conséquence d’actes bas,
Un cercle vicieux qui jamais n’en finira,
Car de l’aversion à la destruction, il n’y a qu’un pas.
Haine, haine, sort de moi ! Je ne te veux pas.
Je t’extirperai de mes veines avec mes propres doigts,
Venin abominable qui envahit mon cœur blessé,
Brouille ma raison et noircit mon esprit tout entier.
Haine, haine, tu ne gagneras pas !
Demain la sagesse me reviendra.
Je te tairai et t’enfouirai au fond de moi,
Dans l’espoir que jamais tu ne réapparaîtras.
Il n’y a rien de plus affreux que toi,
Car tu t’immisces sous tous les toits,
Sans raison, pour un rien parfois,
Tu opposes ceux qui s’aimaient autrefois.
Qu’ils soient frères ou étrangers, çà et là,
Tu sèmes ta graine qui germera dans le froid,
Petit à petit, elle poussera et grandira,
Arrosée par un désir de vengeance sans foi ni loi.
Bien des querelles et des guerres, tu engendreras,
Des blessures profondes, conséquence d’actes bas,
Un cercle vicieux qui jamais n’en finira,
Car de l’aversion à la destruction, il n’y a qu’un pas.
Haine, haine, sort de moi ! Je ne te veux pas.
Je t’extirperai de mes veines avec mes propres doigts,
Venin abominable qui envahit mon cœur blessé,
Brouille ma raison et noircit mon esprit tout entier.
Haine, haine, tu ne gagneras pas !
Demain la sagesse me reviendra.
Je te tairai et t’enfouirai au fond de moi,
Dans l’espoir que jamais tu ne réapparaîtras.