La tristesse
Les larmes coulent et rien ne les arrêtent.
Elles roulent et roulent sur les joues salées
Comme de jolies perles brillantes et irisées
D’un collier que l’on a violemment arraché.
Le cœur gonfle et explose en mille miettes.
Les dents se ferment bien serrées.
Les lèvres tremblent à ne plus cesser,
Pour étouffer un cri que l’on ne peut prononcer.
Un rideau sombre voile l’esprit et l’entête.
Aucun coup de vent ne réussit à le lever.
Il reste là, immobile, lourd et bien figé,
Ne laissant passer aucun brin de clarté.
Une douleur acérée comme un coup de baïonnette,
Longue et lancinante dans notre gorge serrée,
Qui tel un étau nous empêche de respirer
Et vide peu à peu de vie notre corps prostré.
Les larmes coulent et rien ne les arrêtent.
Elles roulent et roulent sur les joues salées
Comme de jolies perles brillantes et irisées
D’un collier que l’on a violemment arraché.
Le cœur gonfle et explose en mille miettes.
Les dents se ferment bien serrées.
Les lèvres tremblent à ne plus cesser,
Pour étouffer un cri que l’on ne peut prononcer.
Un rideau sombre voile l’esprit et l’entête.
Aucun coup de vent ne réussit à le lever.
Il reste là, immobile, lourd et bien figé,
Ne laissant passer aucun brin de clarté.
Une douleur acérée comme un coup de baïonnette,
Longue et lancinante dans notre gorge serrée,
Qui tel un étau nous empêche de respirer
Et vide peu à peu de vie notre corps prostré.