La mort
La mort est notre plus grande ennemie,
Sans elle, pas de religion, pas de conflit,
Pas de Dieu souverain qui nous mène au paradis
Ou à l’enfer, le territoire des êtres maudits.
L’homme agirait dûment car n’ayant qu’une vie,
Les conséquences de toute acte seraient immédiatement subies,
Il apprendrait vite que le bien vaut mieux que le mal ici,
Et que son bonheur en dépend et qu’il ne tient qu’à lui.
Avec l’expérience, il acquerrait une sagesse,
Construites sur les erreurs passées et les remords qui blessent,
Il pardonnerait et demanderait le pardon sans cesse,
Atteindre l’harmonie serait sa plus grande prouesse.
Sans la mort, plus de peur, plus de souffrance,
L’amour de soi et de l’autre comme seule délivrance,
Vivre ensemble dans le respect, en consonance,
La paix serait de la plus haute importance.
Mais la mort corrompt l’homme, tout elle détruit,
Pourquoi se préoccuperait-il de l’avenir si sa vie finit ?
Il peut tuer, polluer, anéantir sa planète sans répit,
Haïr, faire souffrir, torturer, la mort l’attend sans bruit.
La mort est notre plus grande ennemie,
Sans elle, pas de religion, pas de conflit,
Pas de Dieu souverain qui nous mène au paradis
Ou à l’enfer, le territoire des êtres maudits.
L’homme agirait dûment car n’ayant qu’une vie,
Les conséquences de toute acte seraient immédiatement subies,
Il apprendrait vite que le bien vaut mieux que le mal ici,
Et que son bonheur en dépend et qu’il ne tient qu’à lui.
Avec l’expérience, il acquerrait une sagesse,
Construites sur les erreurs passées et les remords qui blessent,
Il pardonnerait et demanderait le pardon sans cesse,
Atteindre l’harmonie serait sa plus grande prouesse.
Sans la mort, plus de peur, plus de souffrance,
L’amour de soi et de l’autre comme seule délivrance,
Vivre ensemble dans le respect, en consonance,
La paix serait de la plus haute importance.
Mais la mort corrompt l’homme, tout elle détruit,
Pourquoi se préoccuperait-il de l’avenir si sa vie finit ?
Il peut tuer, polluer, anéantir sa planète sans répit,
Haïr, faire souffrir, torturer, la mort l’attend sans bruit.